Un homme de Vancouver qui aurait essayé de vendre un nom de domaine nouvellement acheté à une entreprise américaine de communication se trouve maintenant en difficulté avec la loi pour avoir violé la loi américaine de protection des consommateurs contre le anti-cybersquatting. Selon la plainte, Dorian Banks aurait acheté le domaine switch.net via une vente aux enchères en Octobre et aurait ensuite essayé de contraindre une compagnie de Las Vegas, Switch Communications, à le lui acheter. Switch allègue qu’il demandait 3 700 $ américains..
Selon ce qui a été rapporté, Banks aurait contacté Switch pour les informer qu’il avait le domaine pour leur offrir de le leur vendre. L’entreprise aurait convenu d’examiner l’offre et, possiblement, d’entamer des négociations, au cours des lesquelles, ils allèguent que Banks aurait menacé de communiquer avec certains des concurrents de l’entreprise si ils n’agissaient pas assez rapidement. Selon la plainte, il voulait qu’ils ouvrent un compte en fidéicommis comme une déclaration de bonne foi qu’ils étaient disposés à négocier. Switch Communications aurait ensuite répondu par leur poursuite.
Selon le cabinet d’avocats de Switch Communications, Greenberg Traurig, M. Banks serait coupable de « mauvaise foi » en ce qu’il aurait volontairement acheté le nom de domaine similaire dans le seul but de manipuler Switch pour leur soutirer de l’argent. Le cabinet d’avocat demande une injonction qui empêcherait Banks d’utiliser le nom de Switch de quelconque manière. Par ailleurs, la plainte ne justice demande également que le nom de domaine switch.net soit officiellement transféré à Switch Communications.
Switch Communications est une entreprise de 11 ans spécialisée dans les télécommunications, l’interconnectivité, et les services Tier IV pour les entreprises partout dans le monde. Ils maintiennent un certain nombre de centres de données et des installations de colocalisation à travers la grande région de Las Vegas, et ont récemment annoncé des plans pour ajouter environ 1 million de pieds carrés d’espace à l’avenir.